vendredi 29 septembre 2017

Pour le plaisir.


































Soyons-Suave est heureux de vous offrir un duel qui s'annonce sans concession. 

Connaissez-vous Jean-Michel ?

Impossible d'envisager une fin de semaine sans notre cher ami Jean-Michel, qui chaque vendredi, partage avec nous, et le monde, les plus suaves clichés de son album photos. 


































Jean-Michel, 41 ans, adore son nouveau coin bar.

Soyons K, soyons Pop, Soyons K Pop !

Découvrir la K Pop par accident permet sans doute de se mettre un instant à la place de Speke apercevant pour la première fois le lac Victoria : on devine immédiatement qu'on vient de mettre le doigt sur quelque chose d'important. 

Chaque vendredi, échangeons nos hallucinations et notre fascination grandissante pour cette pop venue du Pays du Matin Frais tout en vous mettant en garde : cela peut être suavement addictif.



La vidéo de la chanson "Fantastic Baby" du groupe BigBang et qui date de 2012 devrait être systématiquement diffusée pour qui souhaite se rendre compte d'un fait simple : la K Pop, c'est pas comme chez nous. (Et si vous cherchez un équivalent féminin, nous recommandons le "I am the best" de 2NE1)

Avec un budget qui donne l'impression d'avoisiner les 200 millions d'Euros (ou son équivalent en Won), un travail de stylisme, du cheveu et de la chorégraphie qui laisse sans voix, on peut considérer que c'est un sommet dans le genre, et tout cela sans même avoir à parler de la musique dont on pense ce qu'on veut.

















Crée en 2006, BigBang est peut-être le plus grand groupe (bon d'accord, le boys band) de K Pop, en tout cas celui dont la longévité laisse rêveur et le compte en banque apoplectique : une dizaine d'albums (dont certains en japonais), des dizaines de vidéos et des milliards de vues sur Youtube... 

Et comme chacun de ses 5 membres lance régulièrement des projets solos, ce n'est plus vraiment un groupe mais une occupation permanente du territoire, à l'image du très prolifique leader G-Dragon qui nous semble très sympathique et dont les clips nous évoquent parfois Missy Elliott... en moins femme... et en moins noir... mais en beaucoup plus coréen.



Et là encore, il n'est même pas nécessaire de parler de la musique. 

Soyons Peplum !


































Célébrons la toge, la tunique et même la serviette nouée !

La question suave du jour : mais quel homme lisait Playboy ?


































Si on en croit les publicités pour le magazine aux oreilles de lapins publiées dans les années 60, l'homme qui lisait Playboy était... un homme déjà, qui n'aimait rien moins que de laisser ses mains inoccupées et devait constamment tripoter quelque chose. 




































































Oh tiens, Tom Selleck...

Et évidemment, l'homme qui lisait Playboy aimait par-dessus tout tripoter un magazine. Quand même...


Que lire ce weekend ?






















Le guide Marabout est notre ami. Il sait tellement de choses...

Brigitte Bardot présente l'Instant Fourrure de Soyons-Suave.






C'était l'Instant Fourrure de Soyons-Suave.

Le Brushing du jour.


































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette huit cent vingt neuvième édition, Hugh Hefner présente le modèle intitulé "Le Playboy", forcément. 

mercredi 27 septembre 2017

Pour le plaisir.


































Soyons-Suave est heureux de vous offrir un phasme.

L'Instant Grrr


Et maintenant dansons !



Nous réalisons avec un calme relativement impérial que la première fois que nous avons entendu cette chanson, c'était il y a 35 ans. 

La photo mystère du mercredi.


































Ne nous demandez pas ce qu'il se passe dans cette image, nous n'en avons pas la moindre idée. 

La question suave du jour : que penser de la fin de la série "Teen Wolf" ?


































Si nous serons à priori d'accord qu'à des fins éditoriales, il serait absurde de répondre "Rien" à la question du jour, annonçons la terrible nouvelle à celles et ceux qui n'en sauraient rien : il y a deux jours, après 6 saisons et exactement 100 épisodes, l'inénarrable épopée lougaresque de MTV, "Teen Wolf", a tiré sa révérence. 

Cela était annoncé depuis des mois, le public en émoi et les fans en pleurs savaient que cette saison serait la dernière mais tout de même, imaginons le déchirement pour beaucoup d'adolescentes et encore plus de messieurs ayant largement dépassé l'adolescence lorsque le dernier générique se mit à dérouler. 


















A priori, "Teen Wolf" n'était supposé être que l'adaptation par MTV du film qui faillit lancer Michael J Fox (mais sortit 15 jours avant "Retour vers le futur") et qui pouvait devenir le "Buffy contre les vampires" des téléspectateurs de la chaîne musicale, c'est à dire une série fantastique pour ado où on a un peu peur tout en se demandant qui va coucher avec qui. 

Il y avait le gentil lycéen qui se fait mordre et découvre qu'il n'est pas aisé d'être un loup garou, son meilleur ami sarcastique et un peu maladroit et sa fiancée qui, le monde est ironique, est en fait issue d'une famille tuant depuis des générations les loups garous. Il y avait aussi de jeunes acteurs sympathiques, de la musique dont les titres apparaissaient à l'écran (très pratique). Il y a avait donc de grandes chances pour que cela soit sans réel intérêt ni suavitude particulière. 






















Nous ne remercierons jamais assez Jeff Davis, le créateur du show, d'avoir permis que "Teen Wolf" soit bien plus que cela et comme cela se dit dans les milieux spécialisés "Thanks heaven for gay showrunners", qu'on peut traduire très littéralement par : "une série n'est jamais aussi bien placée qu'entre les mains d'un producteur gay". 

Dès sa première saison, "Teen Wolf" s'imposa comme le plus grand n'importe quoi homoérotique jamais tourné et il est certain qu'un jour, on écrira une thèse sur l'usage de la métaphore non voilée dans cette série et ses multiples influences sur les jeunes esprits du monde entier. On a déjà dû, d'ailleurs, écrire cette thèse, nous ne voyons pas comment cela puisse être autrement. 





























Alors que vous venez de survoler une partie du casting masculin des 6 saisons de "Teen Wolf" et qu'il est possible de se demander s'il y eut en fait des actrices dans la série (la réponse est oui mais c'est totalement anecdotique), saluons tous ces jeunes gens qui passèrent des heures, non seulement en salles de sports mais surtout à courir torse nu dans les bois, à grelotter nus sous des douches, à rester attachés à des grilles, ligotés dans des sous-sols. 

Pensons à ces carrières qui furent lancées par un tee-shirt lacéré ou une morsure profonde et gouleyante. Nous ne connaissons pas exactement le nombre de comédiens de moins de 30 ans, si possible imberbes et possédant un IMC de 2,6 qui furent utilisés pendant 6 ans par la production mais nous pensons qu'il y a de quoi approvisionner les 200 prochains films d'André Téchiné. Facile ! 



































Devons-nous donc être triste de voir cette ode à la jeunesse, au sport et au bondage s'achever alors que le monde a besoin, parfois, de torses glabres et de références abdominales stables ? Eh bien non, car, d'une part, comme personne ne l'ignore, toutes les bonnes choses doivent savoir s'arrêter, et d'autre part, il semblerait que "Teen Wolf" ait rempli sa mission. 

Tout d'abord, comme tout bon tremplin qu'est une série TV, "Teen Wolf" a propulsé ce qu'elle devait faire éclater, c'est à dire les carrières de Colton Haynes et Dylan O'Brien vers le grand écran. Colton se perd, certes, en peu sur Instagram, mais en devenant le héros du "Labyrinthe" et de "American assassin", Dylan peut espérer quelque chose. 




































Et puis surtout, "Teen Wolf" a démontré qu'il était finalement dangereux de jouer avec la nature. Avant la série, Tyler Posey, Cody Christian et Ryan Kelley étaient trois jeunes comédiens, qui aimaient rire, boire des bières en chemises de flanelle et rentrer le soir chez eux auprès de leurs fiancées. 

Après 6 années à être huilés, gonflés, déshabillés, épilés et filmés entre les jambes de préférence, il ne se passe pas une semaine sans qu'un des trois n'égare fortuitement une sexe tape sur internet, ce qui contribua au succès de Kim Kardashian mais qui, aux dernières nouvelles, n'a jamais espéré remporter un Oscar. 

Il était donc temps que tout cela s'arrête et que ces messieurs reprennent un peu leurs esprits et un monde un peu moins érotisé. Car ce n'était en fait que de la télévision. C'était pour rire. En tout cas, pendant 6 ans, nous, nous avons bien ri. 







Mais avant de poursuivre, une retouche maquillage...

C'est mercredi : soyons LGBT !

Chaque mercredi, Soyons-Suave propose une tribune aux minorités opprimées, puisque la suavitude passe aussi par le respect et la compréhension. Quelqu'un a dit : "Il faut commencer par s'aimer pour pouvoir aimer les autres", ajoutons "Il faut reconnaître la suavité de l'autre avant de s'attaquer à la sienne". 

C'est donc avec fierté que nous vous offrons un roman lesbien, une moustache et un instant transgenre.



Le Brushing du jour.


































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette huit cent vingt huitième édition, Debbie Harry présente le modèle intitulé "Forever Blond(ie)"

lundi 25 septembre 2017

Pour le plaisir.


































Soyons-Suave est heureux de vous offrir un peu d'art tauromachique. 

Le Quizz de Nina.
















Nina est visiblement un peu comme nous en ce moment, c'est à dire très joueuse et propose donc une partie d'échec qui peut éventuellement vous laisser tout moite, étant donné que c'est sans doute l'une des distractions les plus souvent montrées au cinéma et que pour le coup, vous avez le choix. 

Mais si le film dont est tiré cette image est l'un de vos favoris, alors n'hésitez pas. Qui s'apprête à dire "Echec et mat" ? Plus d'indices mercredi en cas de panne. Un seul nom par réponse et bien entendu, Nina ne joue pas. A vos cellules grises. 

17 fois Cécile Cassard ?







































Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois la preuve que EmoviePoster est bien le plus formidable site de vente en ligne d'affiches de cinéma, ce sera déjà hautement satisfaisant. 

Et en plus on y découvre même des curiosités jamais vues...