jeudi 31 août 2017

RuPaul est l'invité de la semaine.


































Et il vous dit bonsoir. Et à demain.

C'est jeudi : sortons dîner !


Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir !

Et maintenant dansons !



En 1977, le groupe tout nouvellement formé C.J. and Co réussit une chose extraordinaire : sortir de leur premier album non pas un ni deux mais trois tubes à la suite, qui finirent chacun numéro 1 des charts dance aux USA. Et si on se souvient moins de "We got our own thing" et de, notre préféré, "Sure can't go to the moon", il est pratiquement impossible d'avoir oublié "Devil's gun", dans la mesure où on l'ait au moins un jour entendu. 

Selon la légende, ce titre, le premier sorti par le groupe, fut également le tout premier morceau joué au mythique club "Studio 54". Et cela suffit pour asseoir une réputation. L'année qui suivit, un deuxième album vit le jour et ce fut un échec. Ce qui fait qu'en 1979, le groupe décida de mettre un terme à ses activités. 2 albums, 3 tubes, 3 années d'existence, évidemment 6-6 et 6 aurait été plus diabolique mais c'est déjà pas mal. 



Le Dino de l'été.

Pendant ce temps, à la piscine...


Le trio du jour.




































Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous offrir trois Mona Lisa. 

Soyons plastique !

RuPaul est l'invité de la semaine.


Et il vous dit bonjour.

mercredi 30 août 2017

RuPaul est l'invité de la semaine.


































Et il vous dit bonsoir. Et à demain.

Le Quizz de l'été volume 6 : les indices.
























Ainsi donc vous n'avez pas été très éclairés, semble-t-il, par ce premier trio de captures d'un même film, à identifier, puisque tel est le principe du Quizz estival.

Ceci n'est pas un problème : voici trois nouvelles captures, un peu plus peuplées, qui nous l'espérons vont être plus lumineuses : 
























Vous avez remarqué ? Le même phénomène que pour les captures précédentes ? De la couleur et du noir et blanc ? Voilà qui est troublant non ? A vos cellules grises. 

C'est mercredi : sortons dîner !
















Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dîner !

Et maintenant dansons !




Est-il seulement possible d'évoquer ces numéros 1 éphémères du disco sans penser à Van McCoy et à son "The Hustle" qui en 1975, grimpera en haut de tous les charts et recevra même un Grammy awards ? La phrase qui précède étant une question rhétorique, la réponse est non. 

McCoy, au moment de son triomphe était loin d'être un inconnu. Compositeur, arrangeur, producteur, cela faisait presque 15 ans qu'on le trouvait derrière des groupes comme les Shirelles, Gladys Knight and the Pips ou Jackie Wilson. Rien ne laissait supposer cependant que son album instrumental "Disco baby", produit par son propre label quasi confidentiel, accoucherait d'un tel monstre. 






















Poursuivant sur sa lancée miraculeuse, McCoy sortira 7 albums  jusqu'en 1979, ce qui est assez prodigieux et puis disparaîtra, non parce qu'il en avait assez de la musique mais parce qu'il sera terrassé par une crise cardiaque. 

Il avait 39 ans. C'était jeune. C'est donc triste. C'est pour cela qu'il faut danser ! 


Le trio du jour.




































Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux sinon mieux : Soyons-Suave est heureux de vous offrir trois produits dérivés... parmi bien d'autres...

Soyons plastique !

L'inconnu du mercredi.

On ne les connait pas vraiment aussi profitons de l'été pour cultiver notre jardin et découvrir ces jeunes pousses de la suavitude qui feront, peut-être, le monde de demain. 


































Notre dernier inconnu de l'été nous permet de nous plonger dans un bain d'exotisme puisque, à 22 ans seulement, Fiki Storaro (mais qu'on appelle simplement Fiki) est la sensation musicale bulgare et nous devons avouer que faire sa connaissance a considérablement agrandi notre vision de ce pays que nous pensions surtout riche en produits laitiers et exportation yéyé. 

Fils d'un père (jusque là rien de bouleversant) lui-même chanteur et à la grande popularité, Fiki s'est imposé à la vitesse de l'éclair et après seulement 4 ans de carrière, il peut dores et déjà s’enorgueillir d'une quantité de singles, de duos, de numéros 1 et de prix divers. Mais le plus simple est peut-être de voir tout de suite en images de quoi il retourne : 



Voilà voilà. C'est indéniablement frais, indéniablement balkanique aussi et peut-être que ce qui ne peut être qu'un nouveau cas d'allergie textile a joué dans la popularité immédiate de Fiki qui a, c'est du moins une rumeur, contribué au formidable essor des salles de fitness à Sofia et dans tout le pays d'ailleurs.

Evidemment sur les réseau sociaux, Fiki semble un jeune homme simple et sain, qui prend le succès comme il vient et ses protéines avec assiduité. Il aime les voitures, les vêtements paramilitaires et les narguilés, un homme simple donc. Oh et il aime montrer que le climat bulgare permet de vivre sans chemise ce que tout le monde ne sait pas.
























Et parfois, lorsque le vent se lève et la température baisse un peu, une résille suffit.

Pour avoir attentivement étudié la carrière de Fiki, nous pensons être à même de lui donner un conseil, basé sur l'observation suivante : son immortel tube, "Bum", dont vous avez pu apprécier la vidéo totalise près de 10 millions de vues sur Youtube, "Beche Obich", vidéo dans laquelle il se désespère en slip approche les 12 millions, et voilà que parait son dernier titre, "Ako Iskash" :



Fiki y est en costume. 3 millions de vues. 

Notre conseil est donc le suivant et fidèles visiteurs, vous êtes sans doute à même de le formuler en même temps que nous : on ne met pas de chemise quand on passe 5 heures par jours au Gymnase Club. 


Pendant ce temps, à la piscine...


RuPaul est l'invité de la semaine.


































Et il vous dit bonjour !

mardi 29 août 2017

RuPaul est l'invité de la semaine.


































Et il vous dit bonsoir. Et à demain.

C'est mardi : sortons dîner !

















Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir !

Et maintenant dansons !



Dans la grande famille des "Ils ont eu un tube et c'est tout", Alicia Bridges est certainement en bonne place sur le podium tant son titre de 1978, "I love the nightlife" est la seule chose que nous connaissons d'elle, alors qu'entre ses débuts avec le dit-tube et aujourd'hui, elle a enregistré pas moins de 7 albums (dont un bon nombres de remix de ce dit-même tube mais quand même). 

Passionnée par le rock et le blues, Alicia ne s'imaginait pas du tout en diva disco et regardait plutôt du côté de Janis Joplin mais nous savons tous ce qu'un producteur sachant parler peut parvenir à faire. En tête des ventes à sa grande surprise dans une trentaine de pays, 35 semaines classé dans les charts, son album éponyme dut tout en fait à son single, la preuve, sans "I love the nightlife", aucune autre de ses tentatives discographiques ne parvint à capter la moindre attention. C'est dommage. Une femme qui choisit d'être en toge sur la pochette de son premier 33t mérite au moins le respect. 






















Mais malgré tout, un tube, c'est déjà énorme, surtout lorsque sur le point d'être oublié, il est ressuscité comme ce fut le cas ici avec "Priscilla reine du désert" qui en 1994 permit à tout ceux qui n'avait jamais entendu parler d'Alicia Bridges de s'acheter une compilation. 

Et si vous la trouvez un peu butch et un peu marquée dans la vidéo ci-dessus, sachez pourtant qu'elle n'a que 25 ans mais elle sortait beaucoup. Et oui, avec des filles. Et puis ce look ! D'ailleurs elle attend toujours un signe de la part de Billy Idol. 







Soyons Plastique !


Pendant ce temps, à la piscine...


Le trio du jour.




































Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous offrir trois suggestions à déguster à l'entracte. 

Le Dino de l'été.


RuPaul est l'invité de la semaine.


































Et il vous dit bonjour !

lundi 28 août 2017

RuPaul est l'invité de la semaine.


































Et il vous dit bonsoir. Et à demain.

Le Quizz de l'été volume 6.
























Dernier Quizz estival ce soir et dont nous vous rappelons le principe enfantin : trois captures tirées d'un même film à identifier. Au départ il n'y a pas grand monde dans les images qui se peuplent au fur et à mesure que les jours passent, à moins évidemment que vous ne trouviez immédiatement. 

Vous pouvez voir que pour cette salve d'honneur, le Quizz est à la fois multicolore et assez gris. Anticipation de cet été qui se termine ? A vos cellules grises. 

































Quant au Quizz de la semaine dernière il s'agissait bien de "Un frisson dans la nuit" de Clint Eastwood, démasqué après une première série d'indices par Stéphane qui marque donc 1 point. 

Ce qui fait que dans un suspense invraisemblable, nous avons pour l'instant trois ex æquos avec deux points : Ana Maria, Barrjean et Ivan Fernandez, suivis par Stéphane et Valentine avec 1 point. Seule Jessica Walker est hors concours mais elle est vraiment trop méchante.