lundi 30 janvier 2017

Pour le plaisir.


































Soyons-Suave est cependant très heureux de vous offrir une soirée avec Desmond, qui saura vous occuper jusqu'à notre retour. 

Entre nous...


































Suaves visiteurs, nous n'avons pas pu vous dire que nous serions absents ce lundi puisque nous-mêmes n'en savions rien. Nous sommes de retour dans une poignée de jours. 

A mercredi vraisemblablement. Et des bises, évidemment... 

vendredi 27 janvier 2017

Pour le plaisir.

































Soyons-Suave est heureux de vous offrir un doigt vengeur.

Connaissez-vous Jean-Michel ?

Impossible d'envisager une fin de semaine sans notre cher ami Jean-Michel, qui chaque vendredi, partage avec nous, et le monde, les plus suaves clichés de son album photos. 






















Jean-Michel, 37 ans, découvre sur le tard les motifs. 

Et maintenant chantons !



Oh et soyons un peu lounge, c'est vendredi, nous sommes exténués...

Soyons Peplum !


































Célébrons la toge, la tunique et même la serviette nouée.

La question suave du jour : et Mylène Demongeot à l'international ?







































Eh bien c'est pas mal... pas mal du tout...



Que lire ce weekend ?























Le guide Marabout est notre ami pour la vie. Il sait tellement de choses...

Cher présente l'Instant Fourrure de Soyons-Suave.




































C'était l'Instant Fourrure de Soyons-Suave. 

Le Brushing du jour.


































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette sept cent quatre vingt quatrième édition, Mercedes, notre mannequin cheveux, présente le modèle intitulé "Le Royal". 

mercredi 25 janvier 2017

Pour le plaisir.













Soyons-Suave est heureux de vous conseiller de vous rendre à cette adresse. C'est très bête mais nous y avons  joué pendant  au moins 10mn aujourd'hui et c'est très relaxant. 

L'Instant Grrr


Et maintenant dansons !



Nous l'avons promis à Ella et puis "Blip Blip", ça parle à tout le monde. 

La photo mystère du mercredi.






















Ne nous demandez pas ce qui se passe dans cette image, nous n'en avons pas la moindre idée. 

La question suave du jour : peut-on réellement visiter Scarfolk ?


































Puisqu'il n'y a pas de bons jours, mois ou saison pour s'inquiéter de la destination de ses prochaines vacances, l'équipe de Soyons-Suave a commencé à regarder quelques catalogues afin faire des repérages préliminaires en vue de son séminaire de printemps dont le thème est déjà finalisé : "Tourtes et Kayak". 

Familiers avec cette petite ville pittoresque située dans le nord-ouest de l'Angleterre, nous nous sommes dits qu'il était peut-être temps de nous rendre à Scarfolk, dont nous suivons avec intérêt le blog, la page Youtube et dont nous possédons même le guide officiel. 

















Ce qu'il y a de fascinant avec Scarfolk, en plus du fait que le temps s'y soit arrêté en 1979, est indubitablement la générosité avec laquelle la ville partage en ligne les archives du conseil municipal et met régulièrement à jour la liste des ouvrages disponibles à la bibliothèque. 

Le rayon consacré à la littérature jeunesse est particulièrement savoureux, mais pas uniquement. Les campagnes de santé publique le sont tout autant. 






































Alors bien sûr, nous avons entendu quelques rumeurs prétendant que la mairie serait un brin totalitaire et la gestion de la ville un chouia dystopienne. 

Mais nous pensons que certains sont arrivés à une telle conclusion en raison uniquement des négations qui apparaissent souvent dans les campagnes d'affichage, qui n'ont pour but que d'être les plus claires possibles. 




































































Et franchement, un suppositoire de surveillance, ce n'est pas grand chose si cela peut assurer la sécurité des citoyens. 

Malheureusement, pour répondre à la question du jour, il est finalement impossible de visiter Scarfolk qui est en fait la création totalement absurde, suave et effrayante du designer Richard Littler, qui depuis 2013, lui donne vie sur son blog et que vous pouvez retrouver ici

Tâtant un peu nous-mêmes d'Internet, nous ne pouvons qu'être admiratifs devant ce concept global aux multiples ramifications et qui doit certainement être un travail à plein temps. 



Visitez Scarfolk. Vous pouvez aisément y passer une semaine sans le moindre ennui. A moins évidemment que vous n'en repartiez jamais.


















Mais avant de poursuivre, une retouche maquillage...


C'est mercredi : soyons LGBT !

Chaque mercredi, Soyons-Suave propose une tribune aux minorités opprimées, puisque la suavitude passe aussi par le respect et la compréhension. Quelqu'un a dit : "Il faut commencer par s'aimer pour pouvoir aimer les autres", ajoutons "Il faut reconnaître la suavité de l'autre avant de s'attaquer à la sienne". 

C'est donc avec fierté que nous vous offrons un roman lesbien, une moustache et un instant transgenre.





Le Brushing du jour.


































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette sept cent quatre vingt troisième édition, Anna Karina présente le modèle intitulé "DIY", également appelé dans certains salons : "Parfois il faut faire confiance à de vrais professionnels". 

lundi 23 janvier 2017

Pour le plaisir.


































Soyons-Suave est heureux de vous offrir un petit snack.

Le Quizz de Nina.


































Pour son Quizz, Nina nous prouve qu'elle est un peu coquine et pas uniquement en anticipation de la question que nous allons nous poser, à savoir, "Qui peut bien caresser sa petite chatte ?". Non, Nina est coquine car elle a choisi une capture d'écran qui est floue, naturellement, dans le film dans lequel elle est tirée, puisque c'est un premier plan et que l'intérêt se porte sur ce qu'il y a à gauche et que vous ne voyez pas. 

Mais bref, qui caresse donc sa petite chatte blanche ? Ajoutons que nous l'aimons beaucoup ce qui ne vous avance à rien du tout comme d'habitude. Indices mercredi en cas de panne. Un seul nom par proposition et Nina ne joue pas. A vos cellules grises. 

17 fois Cécile Cassard ?











































Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois une consultation avec la représentante Avon, toujours de bons conseils, ce sera déjà hautement satisfaisant. 

Et si même les stars y succombent...



Cache-cache : saurez-vous retrouver Elsa Martinelli dans cette image ?


































Gagné ! Elle était assise, tout simplement !

Et maintenant dansons !



Oui, il existe encore des groupes vocaux dont nous n'avions JAMAIS entendu parler et dont nous tombons amoureux instantanément. La vie est belle. 

Pendant ce temps, à Hollywood...

































Marilyn est très fatiguée...

La fin du Quizz d'Ana Maria.





































Suaves visiteurs, vous découvrez peut-être un peu ébahis que le Quizz de la semaine dernière était diabolique puisque notre inconnue peroxydée n'était autre que Carmen Miranda, qu'on a connu, admettons-le, beaucoup plus brune. 

Mais Nina veillait et elle voit son nom en noir sur gris cette semaine sur nos pages puisqu'elle sut rendre son identité à la bombe du Brésil qui fit que plus jamais, on ne regarda les corbeilles de fruits de la même façon. Nina, vous remportez à ce propos une caissette d'ananas et deux régimes de bananes, dont vous ferez, au choix, un smoothie, un dessert rafraîchissant ou un turban pour sortir. En tout cas, bravo ! 

































































Sorti en 1947, "Copacabana" est loin d'être le film le plus célèbre dans lequel joua Carmen Miranda et c'est même pratiquement un chant du cygne puisque rejoignant juste après la MGM pour embellir deux comédies musicales avec Jane Powell, en 1953, elle apparaissait pour la dernière fois sur les écrans, dans "Scared stiff" avec Jerry Lewis et Dean Martin, film, pour le coup, que tout le monde a oublié. 

Pourtant sur le papier, "Copacabana" était excitant ; association inédite de Carmen et Groucho Marx, qui apparaissait d'ailleurs pour la première fois sans ses frères, premier film de Carmen libérée de son contrat avec la Fox, une Carmen désireuse de montrer ses talents comiques dans un double rôle et Alfred Green à la réalisation, un vétéran de la caméra aux cent films, ayant dirigé en 1921 Mary Pickford dans "Le petit lord Fauntleroy", Bette Davis en 1935 dans "L'intruse" (Oscar) et l'année précédente Larry Parks dans "Le roman d'Al Jolson", un triomphe. 



































La fatale erreur de "Copacabana", en plus d'un scénario... légèrement indigent, de seconds rôles sans intérêt et d'un budget plutôt limité (on paya beaucoup d'argent au propriétaire du Copacabana de New York afin d'avoir le droit d'utiliser le nom du night-club) est incontestablement de l'avoir tourné en noir et blanc, ce qui est un non sens lorsqu'on a Carmen Miranda en tête d'affiche. 

On suppute d'ailleurs, dans les milieux spécialisés du turban et de la samba, que c'est très exactement ce qui contribua à la pente douce de la carrière cinématographique de la brésilienne la plus célèbre du monde, l'arrêt de la couleur par la Fox pour ses films dès 1944, quand elle était, par essence, une créature du Technicolor.




Le film cependant ne manque pas de moment très suaves, comme ce "Je vous aime" intégralement en français puisque Carmen incarne une chanteuse ne trouvant pas d'engagement et qui devient célèbre en se faisant passer pour mademoiselle Fifi, mystérieuse artiste parisienne voilée (?!). 

Mais pour vous dire la vérité, vous pouvez sans difficulté ne regarder de "Copacabana" que les 5 dernières minutes, c'est à dire le dernier tableau au cours duquel Carmen interprète la chanson titre accompagnée par Groucho, son épouse d'alors Kay Marvis à la voix ravissante, les girls du Copacabana et les soeurs De Castro dont nous n'avons toujours pas compris la présence dans le film. 



































Oui, ce sont les mêmes, à quelques années d’intervalle. 

Une dernière chose, il convient de préciser que le film du jour n'a rien à voir avec deux autres "Copacabana", que pour des raisons très différentes nous vous conseillons cependant de regarder si vous en avez l'occasion. 



































Mais il nous semble que nous vous avions promis un finale. 

Alors ajoutons juste que Carmen, nous vous avons beaucoup aimé, nous vous aimons toujours énormément et avons infiniment pleuré en lisant votre biographie parce que vraiment, votre vie est trop triste. Mais n'y pensons plus et dansons le Copacabana.