lundi 6 juin 2016

La fin du Quizz de Lady Cancan























Parfois les choses sont limpides et les Quizz fondent comme neige au soleil. Et par ce qui ne peut être qu'un hasard, nous notons que le phénomène se produit généralement lorsque Céline de la Saga avance un nom entre 21h et 21h03. Et lorsqu'en plus, il y a une robe lamée à la clef...

Alors puisqu'il s'agissait bien d'Anne Bancroft dans "To be or not to be", Céline, voyez votre nom en noir sur gris cette semaine sur Soyons-Suave et recevez... à vrai dire nous ne savons plus... une tiare ? votre poids en applaudissements ? un wok ? Demandez et vous serez exaucée. Et encore bravo. 



































"To be or not to be" est bien entendu le film que Alan Johnson réalisera en 1983 en s'inspirant, parfois littéralement, du chef d'oeuvre de Lubitsch de 1942. Et ceci étant dit, nous ne poserons pas même le plus petit des doigts de pieds sur la route périlleuse autant qu'inutile des comparaisons entre les deux films. 

Car que les choses soient claires, nous vénérons les deux et reconnaissons, malgré les énormes similitudes, que nous avons là deux films définitivement différents, totalement brooksien d'un côté et résolument lubitchien de l'autre. Et oui, ces deux termes sont atroces. Et la version de 1983 n'est même pas réalisée par Brooks. Mais quand même. 























Habitué depuis "Le shérif est en prison" à offrir à sa femme de rigolotes apparitions dans ses longs métrages, Mel Brooks ne jouera finalement qu'une seule fois aux côtés de son épouse, rencontrée en 1961 et qu'il épousera en 1964. 

Anne et Mel, voilà bien une rareté dans l'univers impitoyable hollywoodien, 41 années d'une félicité qu'on image sans tâche et même si tel ne fut pas le cas, rêvons tout de même. 





































Nous avons quelque part un reportage invraisemblable, publié dans Jours de France peut-être, dans lequel "Line Renaud reçoit à Paris son ami de toujours Mel Brooks et sa charmante épouse Anne Bancroft". Il faudrait que nous remettions la main dessus. Et que nous rappelions au journaliste auteur de la chose que la "charmante épouse" était oscarisée, primée à Cannes et multi Tony et Golden Globes. Sans parler des Bafta. 

Jours de France n'existant plus, nous nous abstiendrons cependant, tout en vous proposant de jouer pour finir : dans cette image se cache Alfred Hitchcock, vous avez 15 secondes. 


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