lundi 30 mai 2016

Pour le plaisir.


































Soyons-Suave est heureux de vous offrir une cafetière qui sait tout.

Le Quizz de Lady Cancan.

































Suaves visiteurs, le Quizz de ce soir nous fait extrêmement plaisir, parce qu'il est tiré d'un film que nous aimons beaucoup et que vous avez sous les yeux quelqu'un que nous idolâtrons. Alors bien sûr, ce n'est pas à proprement parler un indice que de dire cela, parce que nous aimons beaucoup de films et beaucoup de monde mais là, nous touchons tout de même au coeur. 

Qui brille donc en lamé argent ? Qui semble tourner, virevolter, tel un derviche ? Qui est également parfaitement coiffé, il faut le dire ? Indices mercredi en cas de panne. Lady Cancan ne joue pas et un seul nom par proposition. Et on ne mitraille pas, hein ? A vos cellules grises. 

17 fois Cécile Cassard ?








































Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois une ville méditerranéenne croquée par le suavissime Monsieur Z, ce sera déjà hautement satisfaisant. 

Oh et allez, offrons-nous en une 8ème, parce vraiment, c'est trop suave. 


Cache-cache : saurez-vous retrouver Jane Fonda dans cette image ?


































Gagné ! Elle était enroulée dans le tapis !

Et maintenant dansons !



Et remercions surtout Adèle de faire vivre à tous, même aux personnes ayant une vue impeccable, l'expérience des verres progressifs. 

Pendant ce temps, à Hollywood...






















Arnold est un peu tzigane...

La fin du Quizz de Stromboly.
















Étrange Quizz que celui d'il y a 15 jours, et pas uniquement parce que la réponse surgit enfin, alors que tout le monde ou presque l'a déjà oublié. Perdue dans un océan de propositions, la pauvre Janet Leigh s’époumona pourtant, hurlant que c'était bien elle dans "Pete Kelly's blues", mais qui l'entendit ? 

Aussi, c'est un peu du bout des doigts que nous écrivons en noir sur gris le nom de la triomphatrice, Lady Cancan, en ajoutant, chère gagnante, que votre rage de vaincre ne doit cependant pas vous mener à de telles extrémités. Rappelons-le : mitrailler n'est pas jouer. Et ce sont des gens, que diable, pas des entrées sur une liste de course. 



















Ecrit, réalisé et interprété en 1955 par Jack Webb, "Pete Kelly's blues" est une de ces petites merveilles un peu oubliées des années 50 et qui le serait totalement si elle n'avait permis à Peggy Lee de recevoir, pour ce film, une nomination à l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle en 1956. 

Curiosité suprême, on croise également dans cette production sur le milieu de la pègre et des clubs de jazz dans les années 20, Ella Fitzgerald, dans le rôle... d'une chanteuse de jazz, une participation fugace dont cependant elle attendait beaucoup et qui fut pratiquement l'élément le plus loué par les critiques lors de la sortie du film. Bon, autant le dire, cela ne déboucha sur rien pour Ella, qui retourna donc en studio. 



Derrière "Pete Kelly's blues" se cache... enfin c'est une façon de parler puisqu'il est partout, Jack Webb, énigmatique homme de radio et de télévision américain, d'une raideur inouïe, qui entrera dans la légende avec la série Dragnet et qui mit au point une formule relativement efficace.

En effet, par trois fois, Jack créa une série policière à la radio, dont il fit ensuite un film puis une série télévisée, avec lui-même en vedette, le tout accompagné d'une multitude de produits dérivés, souvent discographiques. Cela fit de lui un homme très riche, légèrement alcoolique mais très riche et accessoirement le premier mari de Julie London.






































Mais Janet Leigh dans tout cela ? Eh bien pas grand chose en fait. Dans "Pete Kelly's blues", elle est charmante, un peu sauvage mais finalement docile. Et elle porte une magnifique robe orange dans laquelle elle exige une danse dans un club désert. C'est la scène iconique du film au cours de laquelle on danse, on tire des coups de feu, on pleure et on meurt. La vie quoi.

Evidemment, il faudra encore 5 ans à Janet pour entrer dans la légende en prenant un douche. Après des dizaines de rôles fadouilles et de nouilleries en costumes, il fallait au moins cela pour faire d'elle autre chose que madame Tony Curtis. Et pourtant, c'était bien cette danse. Et un très bon choix cette robe orange, non ?

Le String de la semaine.

Contrairement aux idées reçues, on peut être suave en string. Chaque lundi, la preuve en image. 






















Et cette semaine, notre ami le String a prouvé que, peu importe la ficelle, une danse de la grêle sioux peut être terriblement efficace. 

Le Brushing du jour.






























Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette sept cent vingt troisième édition, Lauren Hutton présente le modèle intitulé "Possession". 

C'est lundi !






























Comme promis, nous sommes de retour (Yeah !) mais avant toute chose, saluons un basset hound ! 

lundi 23 mai 2016

Entre nous...

































Suaves visiteurs, nous avons totalement oublié de vous prévenir que nous étions absents toute la semaine. Oups.

A lundi prochain et restons suaves.

vendredi 20 mai 2016

Pour le plaisir.




















Soyons-Suave est heureux de vous offrir une Diana rose.

Connaissez-vous Jean-Michel ?

Impossible d'envisager une fin de semaine sans notre cher ami Jean-Michel, qui chaque vendredi, partage avec nous, et le monde, les plus suaves clichés de son album photos. 















De retour de Cuba, Jean-Michel, 25 ans, est fou de boléro. 

Et maintenant dansons !



Et encore, 100%, c'est un minimum...

Soyons Peplum !


































Célébrons la toge, la tunique et même la serviette nouée.

La question suave du jour : le style cowgirl est-il un rien trop viril ?


































Mesdames, ou messieurs d'ailleurs, si d'aventure il vous venait à l'idée, ce weekend par exemple, de changer un peu d'activités et de partir encadrer un troupeau de bovin dans une vallée encaissée quelconque, vous êtes peut-être arrêtée, surtout si vous attachez une importance signification à votre allure, au look qu'il vous faudra alors adopter. 

On le sait, qui dit cowgirl dit matières résistantes et potentiellement un peu rêches, pantalon bien entendu, chaussures solides et couvre-chef qui tolère peu la fantaisie : on ne galope pas en capeline, c'est ridicule et cela prend le vent. 

Heureusement, certaines ont trouvé un moyen de rendre attrayante la tenue de vachère aussi inspirons-nous des trucs et astuces de nos aînées, afin d'être suave, aussi, au milieu du bétail. 







































Vous l'aurez compris, tout se joue avec la frange, le chemisier ajusté ou brodé, l'ourlet qui s'effiloche, le tandem foulard-gants coordonnés ou, c'est un choix audacieux, la sur-robe finition dentelle avec double boutonnage et noeud. 

Vous vous abstiendrez donc de prendre modèle sur Joan Crawford. Parce que, malgré le foulard lavallière, vous n'avez pas envie, enfin nous le supposons, qu'on vous appelle Roger, ou d'énerver Mercedes McCambridge, ce qui finit toujours mal. 



Que lire ce weekend ?






















Le guide Marabout est notre ami. Il sait tellement de choses...

Gloria Grahame présente l'Instant Maillot de Soyons-Suave.


































































C'était l'Instant Maillot de Soyons-Suave.

Le Brushing du jour.


































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette sept cent vingt deuxième édition, Sal Mineo présente le modèle intitulé "Mèche désinvolte". 

mercredi 18 mai 2016

Pour le plaisir.


































Soyons-Suave est heureux de vous offrir Monsieur Pas de Jambe. 

L'Instant Grrr


Et maintenant chantons !



Nous nous disions bien qu'il manquait une version aux 12 milliards déjà réalisées de "All about that bass" mais nous ne pensions pas qu'elle viendrait de Nouvelle-Zélande via l'Australie. Go Maoris ! 

La photo mystère du mercredi.






















Ne nous demandez pas ce qui se passe dans cette image, nous n'en avons pas la moindre idée. 

La question suave du jour : existe-t-il encore des niches pour un décorateur ambitieux ?






















La décoration d'intérieur ! Voilà bien un monde mystérieux et sans doute difficile, en tout cas pour s'y faire un nom, même lorsqu'on est l'épouse d'un chanteur célèbre. Et c'est sans rapport aucun que nous vous annonçons, avant d'oublier, que vous pourrez retrouver l'intégralité de la collection capsule Sarah Lavoine pour Monoprix au moment des soldes. 

Car enfin, que distingue vraiment un décorateur d'intérieur d'un autre ? Quel chromosome mystérieux permettrait à l'un de choisir sans faillir le guéridon en cuivre martelé qu'il vous faut et à l'autre d'identifier aussitôt la bougie trois mèches parfum "Mousse après l'orage" qui va radicalement changer l'atmosphère de votre boudoir ? 

En toute honnêteté, nous n'avons pas la réponse à la question mais peut-être parce que ce n'est pas la bonne. Et à l'instar de Mike Harrison, ne nous demandons pas "Comment décorer ?" mais "Quoi décorer ?"






















L'histoire est en elle-même fort suave : designer et décorateur, (cliquez et vous irez droit chez lui), Mike Harrison se voit un jour de 2015 appelé à l'aide par un ami comédien. Celui-ci vient de décrocher un rôle à Broadway. Si tout se passe bien, il va jouer pendant des mois mais voilà, il a hérité d'une loge étroite et sordide qui l'entraîne vers les abîmes de la dépression dès qu'il en ouvre la porte. 

Qu'à cela ne tienne, en 5 jours, Mike visite, mesure, fait un peu de shopping et... découvre que les syndicats du spectacle aux Etats Unis sont assez tatillon puisqu'il lui est impossible de faire la décoration lui-même, voire de planter un seul clou pour un accrochage, tout devant être réalisé par les techniciens du théâtre. A partir de consignes claires et de plans précis, Mike décore donc à distance la sinistre loge, le résultat se trouve ci-dessus. Et il ne s'arrête pas là !








































Dans un délire très "Mais pourquoi personne n'y a donc songé avant ?", Mike a depuis, décoré 5 autres loges et est devenu le chouchou de Broadway, surtout depuis l'appel de l'assistant d'une certaine Lupita Nyong'o, star absolue depuis son Oscar dans "12 years a slave" et qui souhaitait une loge confortable qui lui ressemble. 























Même si les photos peuvent parfois donner l'impression qu'il a, en gros, jeté trois tapis et posé deux vases, et le cas échéant une statuette africaine, Mike enchaîne les interviews et les articles dans la presse, et pas seulement spécialisée. 

Son secret, c'est finalement d'avoir trouvé la niche, pouvant qu'il existe encore des lieux intouchés par la grâce de la décoration et qui n'attendent qu'une transformation. Et c'est donc le moment de nous rappeler qu'au deuxième sous-sol de nos locaux, nous possédons un box. Mike, une idée ?